|
|
|
- Kayaba Katsuodori - |
|
Kayaba Katsuodori
Unité: inconnue
Série:
|
Kayaba Katsuodori
La pression pour une plus grande performance résulte dans un certain nombre de quelques concepts intéressants partout dans le monde, et le déclenchement de la guerre dans les années 1930 amène le Japon à la recherche de sources d'énergie alternatives. Le Groupe d'étude Kayaba Ramjet a commencé la conception d'un avion alimenté par statoréacteur en 1937. Avec l'aide du transfert de technologie de l'Allemagne, la recherche a progressée rapidement, et bien qu'il n'y ait pas de date sur les informations récupérées, il est supposé que la conception du Katsuodori a eu lieu au milieu de la guerre. De conception similaire à l'Heinkel He P.1078C, le Katsuodori présente un fuselage sans queue avec une aile fortement balayée. Le plan était d'utiliser quatre propulseurs à poudre pour propulser l'avion à la vitesse, puis basculer sur le système de propulsion statoréacteur. Décollage sur un support à roues chariot, un peu comme le Messerschmitt Me 163, le Katsuodori ejecte le chariot après décollage, fait sa mission, et atterrit sur un patin renforcé. L'arrivée de la conception du Me 163, a tué les recherches les plus poussées sur le Katsuodori, comme le Me 163 était d'une conception éprouvée, et volant en Allemagne. Histoire Le Kayaba a été conçu par le Katsuodori pour être un statoréacteur rapide pour défendre le Japon contre des bombardiers alliés. Il est inspiré par (et nommée d'après) l'oiseau katsudori. La recherche a commencé dès 1937 par un groupe d'ingénieurs qui étudient la propulsion par statoréacteur. Les ingénieurs ont vu les avantages d'un moteur à haute vitesse aux exigences de fabrication facile. Afin de lancer le Katsudori, un ensemble de quatre propulseurs d'appoint ont été nécessaires pour accélérer l'avion assez pour obtenir le fonctionnement du statoréacteur, une vitesse minimale de 367 kilomètres par heure. Les fusées devaient être tiré par paires, chacune avec environ cinq secondes d'agent propulseur. Les roquettes étaient alors libérés après utilisation. Avec l'exploitation du statoréacteur, l'engin aurait atteint des vitesses allant jusqu'à 900 kilomètres par heure et pourrait atteindre une altitude de 10.000 m en moins de trois minutes.
|
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Fan d'avions © 16 Mai, 2001